tango argentin Genève

L’excellence du tango, c’est notre aspiration.

Avec de la persévérance tout le monde peut atteindre un bon niveau

L’enseignement donné par l'association 'Aire de tango" est basé sur la biomécanique pour respecter le bon fonctionnement du corps, permettant de réussir les mouvements, puis d’aller vers l'aisance et l’élégance. Aussi, notre enseignement ne ressemble pas à l'endoctrinage mais se resume à un transfer de savoir faire.

 

Expressions dans la danse

Le tango, surtout le tango argentin, danse de couple et de salon se distingue d’une danse de salon ‘ordinaire’, par sa possibilité d’expression.

Bien des danses se concentrent sur le rythme, sur la technique et la chorégraphie et, bien des danseurs pratiquant ces danses, (par ex. Salsa), se limitent à ces expressions, soit par le guidage, l’abrazo ou en s’adaptant au rythme. Souvent, ils sont considérés comme des bons danseurs. Ça se voit couramment.

Seulement, le tango ne se danse pas que sur le rythme seul mais aussi sur la mélodie, soit le chant ou un instrument choisi par le danseur.

 

Rythmique.

Il y a la possibilité de suivre le rythme, c’est même impératif. Le rythme du tango c’est un 4-temps par mesure. Fort, faible, fort, faible. Simple. Sur la partition on ne verra que 4 noirs par mesure, le tempo varie d’un morceau à l’autre.

En principe, le danseur fait un pas sur le temps fort. Imaginons que nous jouons du piano avec nos pieds.  Pour tenir la note toute sa durée, le pianiste ne peut pas lever son doit avant la fin de l note, ainsi le danseur n’est pas sensé de lever son pied du pas qu’il vient de faire, avant la fin de la note et, le pied libéré ne devrait pas s’appuyer avant le début de la note suivante ! Beaucoup de danseurs ne respectent pas ce sens musical. Dommage, ils se montrent ‘dynamiques, techniques’, mais pas tango.

Il y a aussi le rythme typique, noire, noire, croche, croche, noire ; soit fort, faible, fort/faible, faible, ou la croche forte se dansela croche faible ne se mentionne et la noire suivante se mueen silence ou en un pas non marqué. Le tango argentin a la particularité de ‘danser’ des silences.

 Ceci est mis en évidence lorsqu’un danseur suit la mélodie musicale.

 Si un moment il est emporté par la mélodie, il a le choix de faire un seul pas sur une blanche, voire une ronde joué par l’instrument qu’il veut suivre, la rapidité de ses pas sera en conséquence.

 L’intensité des pas.

Imaginons, que le danseur ne joue pas du piano avec ses pas, mais du violon. Comme il ne peut pas lever son doigt (pied) avant la fin de la note (piano), il ne peut pas arrêter son mouvement de pied (de l’arc) avant la fin de la note. Contrairement au piano, le violon permet de varier l’intensité du son le long d’une note jouée, ainsi le danseur peut varier l’intensité (longueur, rapidité) en fonction de son ressentiment, en traînant, en accélérant, en allongeant ou en raccourcissement de son pas.

C’est là, que nous entrant dans le tango argentin !

 La suite des pas.

Dans la plupart des danses il y a des figures plus ou moins imposées.

Cela n’est pas le cas dans le tango argentin. Bien qu’on apprend aux cours des ‘suites standards’, il faut comprendre qu’il ne s’agit d’exercices et qu’elles ne s’appliquent plus à la danse libre. Caque mouvement, que ce soit un pas, une rotation, un silence ou autre est un mouvement pour soi et ne détermine jamais le pas suivant ! (Ceux qui croient ça, sont configurés par les cours !). La danse du tango sest d’une grande liberté, aucun pas n’entraîne automatiquement un autre, chaque pas, chaque rotation (pivot), chaque silence est demandé sur mesure par le guide (en fonction de son interprétation musicale et de ses possibilités locale (autres couples sur la piste de danse).

Le rôle de la suiveuse (du suiveur).

En principe le suiveur suit (par définition), c’est le guide qui définit la danse, la rythmique, les pas à faire. Cependant, pour les danseurs avancés, on conçoit que le suiveur, surtout lorsque que guide ‘fait silence’, que le suiveur au lieu d’attendre pratique une ‘décoration’, ou, lors d’un mouvement particulier il veut ‘embellir’ son mouvement, s’est autorisé, d’avantage si le suiveur insigne ‘laisse moi le temps’, le guide va comprendre et accepter. Toujours est-il, que ces libertés pris par le suiveur devraient être rare, afin de ne pas faire rater l’interprétation musical du morceaux et de ne pas l’amener à une frustration quelconque.

Ce qui amène à guider et à suivre.

Restons dans la danse tu tango argentin de salon (pas de démo ou d’exhibition). Il y a un guide et un suiveur, que ce soit lui ou elle, peut importe (en générale c’est lui). Le suiveur suit ! en s’abandonnant avec très peu de liberté. Que dans des couples très expérimentés on observe des changements de rôle momentané.

Guides, vous voulez danser le tango, dansez le comme si vous jouez un violon !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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